Une harmonie appaisante... [PV Elowan]

La reine, la reine, et encore la reine ! Et oui, Alawara était reine, mais était-ce le plus beau cadeau dans toute sa vie ? Elle n'en était pas sur... Elle regarda autour d'elle mais rien ne se présentait. Elle prit la peine de s'installer sur son trone si je peux dire comme ça. C'est alors que deux gardes lion à sa disposition entrèrent avec un petit lionceau, une petite lionne. Alawara écarquilla ses yeux. Elle était toute sale et pleurait. Les gardes la secouairent et forcèrent la petite à baisser sa tête, eux aussi d'ailleurs. Alawara prit son air de grande reine et les regarda.
- Quel est le problème ? -
Les gardes regardèrent la reine et finirent par s'expliquer, étant fier de leur capture. Y avait-il de quoi être fier ? Non. Alawara était furieuse contre ces deux la. On ne traitait pas un lionceau de cette manière, surotut une future lionne.
- Et bien nous avons trouvé cette petite lionne essayant de voler de la nourriture ! Heureusement que nous étions la Reine Alawara ! -
Alawara se mit à rugir. Furieuse, ça elle l'était. Enragée, elle l'était aussi. Qu'étaient-ils donc pour être des monstres pareils ? C'était bel et bien la première fois que l'injustice regnait dans son palais.
- Relachez ce lionceau ! Traiter comme ça un lion, est-ce dans les règles de mon royaume ? L'harmonie n'existe pas pour rien ! -
Alawara se leva et prit le lionceau par le cou, et l'apporta pres d'elle, la lechant avec amour, faisant sortir les gardes.

Elöwan voulut sortir un moment de son chaotique royaume. Il voulait aller dans le payx où l'élément était mortel pour lui. Le roi voulait voir la reine dde ses propres yeux. Il s'avança vers la porte d'entrée, où des gardes deux fois plus petits que lui gardait cette famause entrée. Elöwan leva un sourcil, quand les deux gardes terrifiés gloussèrent :
- Roi Elöwan, c'est un hoseur...euh...honneur, vous, vous pouvez entrez.
Celui-ci baissa la tête doucement et posa ses énormes pattes l'une devant l'autre avec lanteur. Il tournait sa majestueuse tête de gauche à droite, de haut en bas, et observa le palais de la Reine Alawara. Le roi avoua qu'il était magnifique, mais assez à son goût
Il continua lentement son chemin, en prenant le temps d'admirer chaque détail du palais. Sans s'en rendre compte, il était vite devant la Reine, qui avait un lionceau dans les bras.

Dans les bras ? Dans les pattes plutôt Alawara pensa tout d'un coup à Elowan. Grrr, ce monstre qu'elle détestait tant. Si elle pensait à lui, c'est qu'il était surement en route pour venir dans son royaume, dans son entre. Elle se mit à rugir. Ce rugissement était pour lui, il ne devait pas s'approcher. Lui qui était si ironique quand il parlait, gentleman, prenant un malin plaisir à lui répondre, et en plus ca le faisait rire. Rien qua entendre son nom, elle serait capable d'étrangler quelqu'un ! Elle continua de lecher la petite jusqu'a temps qu'elle soit propre. Puis elle commenca à lui parler, en lui disant qu'elle pouvait entrer dans son royaume et la petite accepta de suite. Alawara la serra contre son ventre, lui disant qu'elle pourrait partir avec un garde pres d'elle, dans quelques minutes, quelques heures, quand Alawara le déciderait, du moins. C'est alors qu'elle vit arriver Elowan. Pourquoi était-il venu alors qu'elle avait bien rugit, lui disant de ne pas venir ?! Elle le détesterait à vie, s'en était sur, et il ne lui ferait pas changer d'avis.
- Que fais-tu ici Elowan ?! Je t'avais bien dit de ne plus jamais venir dans mon royaume ! Tu sais tres bien que je peux tu tuer d'un jet d'eau, mon gros ? Tu te crois toujours supérieur aux autres, imbécile ! -

Alawara allait en rire. Ce vieu fou se permettait de dire cela d'elle ?! Il était bien aveugle dans sa tête. Mentalement. Elle le fixa, et serra le lionceau contre elle. Ce monstre la, il n'aura jamais son coeur. Aussi bien en amitié qu'en liaison de roi et reine ou d'amour. Jamais, elle le détestait comme elle serait capable de tuer.
- Sache mon tres cher et tendre ami que je ne mens pas. Tu es un monstre, tu prends malin plaisir à répondre et c'est la vérité ! Effectivement nous sommes dans le pays de la douceur, mais tu n'es qu'un pauvre roi qui fait une grosse tache sur la vue de mon paysage. T'aimer dans n'importe quel sens, que ce soit en amitié ou en liaison entre roi et reine surtout en amour serait bien la dernière chose que je voudrais ! -
Elle soupira, exasperée de ce vieux crouton même si il n'était pas vieux du tout. Pauvre fou qu'il était. Et il osait encore parler à Alawara ? Elle savait bien qu'il la détestait et que lui aussi ne l'aimerait jamais, et ça lui fiasait du bien de savoir ça. Mais si un jour elle apprenait qu'il l'aimait bien elle serait capable de se casser une patte. Enfin je crois XD
- Je te déteste et ça, pour la vie mon grand ! -
Alawara regarda Sebry, la petite lionne, ou lionceau qu'elle tenait entre ses pattes. Elle était amusée par ça, normal, c'était qu'un enfant qui aime bien les spectacles de ce genre. Mauvais esprit qu'il était ce Elowan...

Alawara sentit alors un rugissement qui fit tres peur à la petite Sebry qui commenca à pleurer et se colla à Alawara. D'un bond, elle se leva et s'opposa à Elowan, lui rugissant à la face. De quel droit se permettait-il de faire ça, et surtout contre elle. Elle rugissa du plus puissant qui était un peu moins égal à Elowan mais c'était tres fort aussi. Légendaire par ci, légendaire par la, et alors, c'était pour se vanter de sa force unique ou quoi ?
- De quel droit te permets-tu de rugir dans MON royaume, devant cette petite en plus ! Tu es peut-être un roi avec un rugissement légendaire, mais rien à foutre, va-t-en de mon royaume imméditament ! Tu ne feras jamais mon bonheur ni celui d'un autre ! -
Alawara fronca ses sourcils, versant une larme. Elle ne devait pas être mechante comme ça, ce n'était pas son genre. Mais il l'avait provoquée et il ne pouvait pas, encore moins dans son propre royaume. Qu'était-il de spécial à part un roi avec un rugissement légendaire ? Rien.

Alawara se mit à rugir de toutes ses tripes pour le faire taire.
- ASSEZ ! Pars de mon royaume ! Si je suis une sale garce, tant pis, qu'est-ce que ça peut te faire ? -
Alawara le poussa, cherchant à le faire fuir, mais il ne bougeait pas, il était beaucoup trop imposant et puissant pour elle. Elle se mit à grogner et à enfoncer sa tête sur son pelage, à son cou, tentant de le pousser, mais rien n'y faisait et elle versa une larme cristalline, une larme qu'elle conaissait bien, une larme de souffrance.
- Va-t-en... -
Laissant sa tête sur son pelage douillet, elle laissa sa larme coulée.